« Et si je devais mourir un jour, si ce drame devait arriver, je m’arrangerais pour qu’elle soit loin, heureuse et insouciante, entrain de faire des ricochets face à un lac. »

4ème de couverture :
« Tu m’as appris une leçon essentielle aujourd’hui. Je croyais bien faire mais c’est toi qui as raison. On cherche toujours le bonheur loin de chez soi. On croit qu’il se trouve dans l’exotisme, de paysages différents, de senteurs nouvelles, de bâtiments imposants. Ce n’est pas toujours vrai, n’est-ce pas ? Parfois le bonheur, c’est juste être assis sur une butte tous les trois. »
À travers une histoire bouleversante, Mélissa Da Costa nous prouve une fois de plus que l’imagination n’a pas de limite, et qu’il n’existe pas de meilleur pouvoir que l’amour pour guérir les blessures les plus profondes.
Ce que j’en ai pensé :
Comment voulez-vous chroniquer un tel livre? Les mots sont difficiles à venir, j’ai terminé La faiseuse d’étoiles il y a une trentaine de minutes et mes joues sont toujours imbibées de larmes. Mélissa Da Costa est une conteuse, une poétesse. Elle sait trouver les bons mots pour parler de sujets parfois si compliqués. Que vous dire ? Je peux essayer de vous résumer mon ressenti en vous listant les raisons pour lesquelles je vous invite fortement à lire ce livre :
- Parce que c’est un Mélissa Da Costa
- Parce qu’en achetant La faiseuse d’étoiles, vous offrez 7 barres d’alimentation d’urgence à l’UNICEF
- Parce que même si vous n’avez pas d’enfant, vous vous sentirez concerné puisque vous avez (ou avez eu) une maman
- Parce que c’est une ode à l’enfance, à l’innocence
- Parce que ce livre, en 192 pages, trouvent les mots qui montrent la puissance de l’amour d’une mère
- Parce que c’est un merveilleux encouragement à garder son âme d’enfant, son imagination sans limite
- Parce que l’histoire est racontée à travers les yeux d’Arthur, 5 ans
- Parce que c’est un hymne à l’amour, le vrai, l’éternel
- Parce qu’il fait autant de bien que de mal par sa beauté
- Parce que, parce que… Lisez-le, vous comprendrez.

En bref :
J’espère que le voyage sur Uranus sera dans de nombreuses années pour ma maman (je ne peux pas imaginer, le supporter), mais je sais déjà que je n’ai pas besoin qu’elle prenne son allé simple en fusée pour profiter de chaque instant à ses côtés.
COUP DE CŒUR

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