« Ce n’est pas en te changeant toi que tu changera les autres ou ce qu’ils peuvent faire. »

4ème de couverture :

Lorsque les Campus Drivers débarquent à Miami, Lewis et ses acolytes décident de nouer un partenariat prometteur avec une application qui cartonne : la Love Machine. Conduire les étudiants c’est bien, mais les accompagner à leurs premiers rencards, c’est encore mieux ! Sauf pour Rafael Torres. Voir de l’amour dégouliner sur sa banquette arrière et un petit coeur pendre à son rétroviseur, très peu pour lui ! Il n’a pas signé pour ça en intégrant la nouvelle équipe des Campus Drivers.Juliet Monroe, elle, donnerait tout pour ne pas monter à bord de la voiture de Rafael. Mais ses frères et soeurs ne lui laissent pas vraiment le choix. Il est selon eux temps pour elle de faire de nouvelles rencontres, et ce partenariat entre les Campus Drivers et la Love Machine tombe à pic.Rafael et Juliet veulent à tout prix éviter la sortie de route, mais à trop se protéger, ils risquent de passer à côté du virage de leur vie.

Ce que j’en ai pensé :

L’équipe créatrice des Campus Drivers est disséminée aux 4 coins du pays après leurs études. Seulement, les membres fondateurs n’ont pas perdu le nord et se sont progressivement implantés dans différentes universités, la relève est assurée. Avec ce tome 4, nous posons nos valises à Miami où l’activité devient encore plus florissante lorsque les Campus Drivers s’associent à la Love Machine, l’application de rencontres qui fait fureur.

Je craignais un peu que le soufflet retombe après avec lu le tome 3 que j’avais adoré et en découvrant la nouvelle génération mais finalement, ça a plutôt bien matché. Lewis, Adam et toute la clique ne sont jamais très loin et Rafael est un personnage attachant. Son histoire et celle de Juliet sont somme toute assez classiques mais efficaces. J’ai aimé les taquineries, les joutes verbales, caractéristiques premières de cette saga mais j’aurais aimé davantage de scènes piquantes. J’ai tout de même passé un excellent moment, comme chaque fois. L’humour est toujours aussi présent et joue un rôle primordial pour moi. Il est la première raison qui me fait tant aimer cette New Romance.

Un nouveau duo qui se démarque un peu des autres, notamment par leurs histoires personnelles bien plus difficiles que les précédentes (hormis Lane bien sûr). Si la 4ème de couverture vous fait lever les yeux au ciel ou grincer des dents, que les couvertures ultra love-love vous déclenchent de l’urticaire, faites comme moi, passer outre ! Ici, C.S. Quill ne présente absolument pas la femme comme une pauvre petite chose en sucre besoin d’être sauvée par un homme grand et fort. Que nenni ! C’est même l’inverse, les filles sont badass (comme disent les jeunes) ! Les messages qui sont transmis sont beaux et forts tout en étant présentés de façons drôle et touchante.

Retours sur les tome précédents :