« A présent, elle avait un pied dans chaque monde. Et elle était chez elle dans l’un comme dans l’autre. »

Résumé éditeur :
Kit Capriol a perdu son mari dans les attentats du 11-Septembre à New York. Leur fille Zoey est née neuf mois après le drame.
Aujourd’hui, actrice courant les castings, Kit doit payer les traites de l’appartement de Manhattan, et surtout les faramineuses notes d’hôpital de Zoey : un soir dans le métro, celle-ci, témoin d’un horrible accident, est tombée dans un coma profond dont elle n’est toujours pas sortie.
Kit mène donc une activité parallèle pour joindre les deux bouts : médium.
Elle sélectionne dans le New York Times, riche en nécros et avis de décès, ses cibles, qu’elle met en relation avec leurs chers disparus.
Et ça marche jusqu’au jour où la police s’en mêle…
Mon avis :
La Médium est un thriller qui, j’en suis sûre, a la capacité à diviser le lectorat. Forcément, dès que l’histoire oscille entre réalité et paranormal, j’ai remarqué que les avis, quant à eux oscillent entre réussite et déception. Pour ma part, ce thème m’intéresse et donne à mes yeux un petit côté piquant au récit, j’ai donc commencé ma lecture avec beaucoup de curiosité et d’intérêt. Ouverture d’esprit connectée, j’étais prête à me lancer !
A part dans les films ou les séries, j’avoue n’avoir jamais tenté l’expérience de médiumnité dans la littérature (qu’elle soit « réel » ou non dans l’histoire). Pour que ça prenne avec moi, il me faut des personnages attachants, qui tiennent la route et qui captent mon attention dès les premières pages. Kit fait partie de ces personnages qui savent, presque immédiatement capter mon attention. Veuve, mère en galère, comédienne à bout de souffle, elle tente comme elle peut de survivre et de gagner de quoi soigner sa fille et tant pis si ça passe par… la tromperie des personnes endeuillées. Après tout, elle ne fait rien de mal ! D’après elle, elle arrondie ses fins de mois en apportant réconfort et soulagement à ses clients.
[…] La médium de J.P. Smith […]
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